Les comportements de défenses actives secondaires permettent d'échapper
plus efficacement à des rencontres avec des prédateurs que les comportements de défenses primaires.
1. Certains animaux peuvent détourner l'attention du prédateur.
Queue de lézard
(Photo : respres)
Le grand
gravelot, par exemple, mime d'être blessé pour que le prédateur,
pensant trouver une proie plus facile à attraper, s'éloigne
du nid où se trouve les petits.
2. D'autres sacrifient une partie de leur anatomie.
C'est le cas du lézard
par exemple, qui laisse sa queue entre les dents de son prédateur,
pour pouvoir s'enfuir.
3. Certains poissons ont des parties colorées en forme d'ocelles
à la partie postérieure du corps :
pour surprendre le prédateur
en fuyant dans une direction opposée à celle prévue
Vol d'oiseaux
(Photo : elsie esq.)
pour dévier l'attaque sur une partie moins vulnérable que
la tête.
Coopération et défense
Vie
de groupe et défense
1. La vie en groupe permet, entre autres, de réduire la probabilité
d'attaque sur un individu.
Les exemples les plus connus sont les grands groupes d'ongulés,
les colonies d'oiseaux ou les bancs de poissons.
2. Un autre avantage est que l'alarme est rapidement donnée
par un des membres du groupe sans que les autres vivent constamment dans
la peur d'une attaque.
Vie en association et défense
Poissons clowns et anémone
(Photo : origine1)
Certains animaux s'associent à d'autres mieux défendus par
la nature.
Tout le monde connaît, depuis le monde de Némo, l'association
entre le poisson
clown et l'anémone.
Conclusion
La nature a déployé des trésors d'imagination pour
permettre la survie des êtres vivants.