Transformisme et évolutionnisme
Théorie de l'évolution de Charles Darwin

Citation

« J'ai donné à ce principe, en vertu duquel une variation, si insignifiante qu'elle soit, se conserve et se perpétue, si elle est utile, le nom de sélection naturelle , pour indiquer les rapports de cette sélection avec celle que l'homme peut accomplir. Mais l'expression qu'emploie souvent Mr H. Spencer " la persistance du plus apte ", est plus exacte, et quelquefois tout aussi commode. » "

Charles Darwin

Documentation web

Sommaire
  1. Connaissances au XIXe siècle
    1. Echelle des êtres
    2. Age du monde et création biblique
    3. Notion d'espèce
    4. Plans d'organisation et homologie
    5. Génération spontanée
    6. Reproduction et développement
  2. Transformisme et évolutionnisme
    1. Question de sémantique
    2. Antiquité
    3. Moyen Age musulman
    4. Avant Darwin
      1. Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon (1707-1788)
      2. Erasmus Darwin (1773-1802)
      3. Etienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772-1844)
      4. Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829)
        1. Lamarck naturaliste
        2. Concept de transformisme
        3. Causes de la transformation des espèces selon Lamarck
    5. Charles Darwin (1809-1882)
      1. Charles Darwin à Shrewsbury (1809-1825)
      2. Charles Darwin à Edimbourg (1825-1828)
      3. Charles Darwin à Cambridge (1828-1831)
      4. Voyage de Darwin sur le Beagle (27 décembre 1831- 2 octobre 1836)
        1. Travaux à bord du Beagle : géologie
        2. Travaux à bord du Beagle : zoologie
        3. Travaux à bord du Beagle : écriture du journal
      5. Charles Darwin avant la parution de l'Origine des Espèces (1836-1859)
        1. Vie de Charles Darwin entre 1836 et 1859
        2. Genèse de l'Origine des Espèces
        3. Rédaction de l'Origine des Espèces
        4. Darwin et Wallace
        5. Présentation de l'Origine des Espèces devant la société linéenne (1858)
        6. Succès et polémiques autour de l'Origine des Espèces
      6. Charles Darwin après la parution de l'Origine des Espèces (1859-1882)
        1. Ouvrages de Darwin après l'Origine des Espèces
        2. Réflexions de Darwin sur lui-même
        3. Conclusion de la vie de Darwin d'Henry de Varigny
      7. Théorie de l'évolution
        1. Textes de la théorie de l'évolution
        2. Idées fortes à retenir
      8. Questions de races
        1. Darwin et la question raciale
        2. L'eugénisme et le darwinisme social
        3. Vision actuelle
      9. Darwin et la religion
    6. L'évolutionnisme après Darwin
      1. Développement de la génétique
      2. Théorie synthétique de l'évolution ou néodarwinisme
      3. Théorie neutraliste et quasi-neutraliste
      4. Théorie des équilibres ponctués
  3. Classification phylogénétique et systématique génétique
    1. Cladistique
    2. Phénétique et phylogénie moléculaire
    3. Gènes de développement et systématique génétique
  4. Fixisme et créationnisme
    1. Théorie du fixisme
    2. Résumé des idées fixistes
    3. Fixisme avant Darwin
      1. Carl von Linné (1707-1778)
      2. Georges Cuvier (1769-1832)
      3. Autres savants
    4. Darwin et Agassiz
      1. Darwin et ses " petits " mensonges
      2. Louis Agassiz (1807-1873) : adversaire obstiné de Darwin
    5. Darwin et les Chrétiens
      1. Chrétiens proches de Darwin
      2. Le fixisme aujourd'hui

Bibliographie

C'est en 1859 que Charles Darwin (1809-1882) fit paraître le « maudit livre » qui l'a « presque tué » : " l'origine des espèces " ( infos).


Darwin écrit dans son autobiographie : « A partir de septembre 1854, je consacrai tout mon temps à l'organisation de mon énorme pile de notes, à l'observation, et à l'expérimentation en ce qui concerne la transmutation des espèces. »

A cette époque, deux grands courants s'opposent :

  • le fixisme ( infos) qui était de loin le plus répandu,
  • le transformisme qui commençait à prendre de l'importance, bien que fortement minoritaire.


Le courant évolutionniste ( infos), déjà apparu avant Aristote (382-324 av. JC) et issu de l'approche zoologique (du grec zôon, animal, et logos science), après la florissant Moyen Age musulman ( infos), se développe au XVIIIe siècle ( infos).


Textes de la théorie de l'évolution ( infos)

Nous voyons la nouveauté des idées de Darwin dans la traduction française de son livre en anglais dont le titre entier est : " On the origin of species by means of natural selection, or the preservation of favoured races in the struggle for life ". Le titre est traduit :

  • en 1862, par " De l'origine des espèces ou des lois du progrès chez les êtres organisés " qui semble reprendre la notion de l'échelle des êtres ( infos) ;
  • en 1866 et en 1870, par " L'origine des espèces par sélection naturelle ou des lois de transformation des êtres organisés " ;
  • en 1873 enfin, par le vrai titre " L'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle, ou La lutte pour l'existence dans la nature ".

Reprenons plusieurs passages qui illustrent bien les idées de Darwin.

L'Origine des Espèces de Darwin« Les descendants modifiés d'une espèce quelconque réussissent d'autant mieux que leur structure est plus diversifiée et qu'ils peuvent ainsi s'emparer de places occupées par d'autres êtres. Voyons maintenant comment ces avantages, qui résultent de la divergence des caractères, combinés avec la sélection naturelle et l'extinction, tendent à agir.
Une représentation graphique nous aidera à comprendre ce sujet un peu compliqué. Désignons par A à L les espèces d'un genre considérable dans un pays, espèces que nous supposons inégalement semblables entre elles, comme cela est généralement le cas dans la nature, ce que nous figurons dans le tableau en espaçant inégalement les lettres. Je suppose un grand genre, parce qu'ainsi que nous l'avons vu au deuxième chapitre une plus forte moyenne d'espèces varie dans les grands genres que dans les petits, et que ce sont les espèces variant dans les grands genres qui présentent le plus grand nombre de variétés. Nous avons également vu que les espèces les plus communes et les plus répandues, varient davantage que les espèces rares et dont la distribution est restreinte. Soit A une espèce commune, largement répandue, variant beaucoup, et appartenant â un genre considérable dans sa région ; nous représentons par les lignes ponctuées divergentes, et d'inégales longueurs partant de A, sa descendance variable. Les variations sont supposées être légères, mais de nature très-diverse ; n'avoir pas apparu toutes simultanément, mais souvent après de longs intervalles ; enfin n'avoir pas eu toutes une même durée. Seules, ces variations qui ont pu être avantageuses auront été conservées par sélection naturelle. C'est ici que l'importance des avantages résultant de la divergence des caractères se manifeste ; car elle aura pour effet de déterminer la conservation et l'accumulation des variations les plus divergentes (représentées par les lignes ponctuées extérieures) par sélection naturelle. Lorsque la ligne ponctuée atteint une des lignes horizontales, point marqué par une lettre minuscule surmontée d'un exposant, nous supposons que l'étendue de la variation accumulée est suffisante pour déterminer une variété bien prononcée, de nature à être consignée comme telle dans un ouvrage de zoologie systématique.
Les intervalles entre les lignes horizontales peuvent représenter chacun un millier ou même une dizaine de milliers de générations. Après ce laps, l'espèce A est supposée avoir produit deux variétés bien accusées, a1, et m1. Ces deux variétés continuant généralement, à être exposées aux conditions mêmes qui ont rendu leurs parents variables, et la tendance à la variabilité étant en elle-même héréditaire, elles continueront à varier encore, et probablement dans un sens semblable à celui de leurs ascendants. De plus, n'étant que des formes légèrement modifiées, ces deux variétés hériteront des avantages qui ont donné à leur parent A sa supériorité numérique sur la plupart des autres habitants de la localité, et également des avantages généraux qui ont fait du genre auquel les ascendants appartenaient, un genre étendu dans le pays. Nous savons que toutes ces circonstances sont favorables à la formation des variétés nouvelles. »
p : 421-422

Unique dessin de l'Origine des Espèces


Ce dessin est le seul qui soit présent dans " L'Origine des Espèces ".

« Les naturalistes s'efforcent de disposer les espèces, genres et familles de chaque classe d'après ce qu'ils appellent le système naturel. Mais que signifie ce terme ?
Quelques auteurs le considèrent purement comme un plan imaginaire pour grouper ensemble les choses vivantes qui sont les plus semblables, et pour diviser celles qui sont le plus dissemblables, ou comme un moyen artificiel pour énoncer aussi brièvement que possible certaines propositions générales. En ce cas, il aurait pour but de nous permettre de renfermer sous une seule proposition les caractères communs, par exemple, à tous les mammifères; par une autre ce qui sont communs à tous les carnassiers ; et sous une autre, tous ceux qui, sont communs au genre Chien ; el enfin, en ajoutant une seule proposition de plus, d'arriver à donner une description complète de chaque espèce de Chiens. »
p : 500

Premier arbre évolutionnaire de Darwin (1837)Pour Darwin, les organismes vivants forment des populations appelées espèces qui ont subi des variations au cours du temps : certaines variations permettent une meilleure " adaptation " des individus à leur environnement. Ceux-ci sont alors avantagés et engendrent une descendance plus nombreuse. La sélection naturelle qui trie les meilleurs individus et la lutte pour la vie permet une évolution lente des espèces (le terme employé par Darwin est " descendance modifiée ") qui deviennent de plus en plus complexes au cours des âges.

« Toutes les difficultés, toutes les règles et tous les moyens de classification qui précèdent, s'expliquent, je crois, à moins que je ne me trompe étrangement, en admettant que le système naturel a pour fondement le principe de descendance modifiée ; et que les caractères considérés par les naturalistes comme prouvant des affinités réelles entre deux espèces ou plusieurs, sont ceux qu'elles ont hérités d'un commun parent. Toute classification vraie est donc essentiellement généalogique ; la communauté d'origine est le lien caché que les naturalistes ont inconsciemment cherché sous prétexte de découvrir quelque mystérieux plan de création, d'énoncer seulement des propositions générales, ou de rassembler des choses semblables et de séparer des choses différentes.
Mais je dois m'expliquer plus complètement. Je crois que l'arrangement des groupes dans chaque classe, selon le rang de subordination qui leur est dû, par rapport à d'autres groupes, doit être exactement généalogique, afin d'être naturel ; mais j'admets aussi qu'entre les différentes branches ou groupes alliés au même degré de consanguinité avec leur commun pro-géniteur, la somme des dissemblances actuelles peut différer considérablement, selon le nombre et l'importance des modifications qu'ils ont subies. C'est ce qu'on exprime en rangeant la série entière des formes connues sous différents genres, familles, sections ou ordres…
A mon point de vue, le système naturel est donc ramifié comme un arbre généalogique ; mais la valeur des modifications que les différents groupes ont subies doit s'exprimer par leur arrangement en ce qu'on nomme genres, sous-familles, familles, sections, ordres et classes. »
p : 515 et suivantes

Idées fortes à retenir

Que faut-il retenir de ce passage essentiel de " L'Origine des espèces " ?

1. Darwin pense à une sélection naturelle et une descendance avec modifications.

« Si des variations utiles à un être organisé apparaissent, les individus affectés doivent assurément avoir une meilleure chance de l'emporter dans la lutte pour l'existence, de survivre, et, en vertu de l'hérédité, de produire des descendants semblablement caractérisés. C'est ce principe de conservation, de survivance du mieux adapté, que j'appelle sélection naturelle. Il conduit à l'amélioration de chaque être dans ses rapports avec les conditions organiques et inorganiques dans lesquelles il vit ; et, par conséquent, vers ce qu'on peut, dans la majorité des cas, considérer comme un état progressif d'organisation. » p : 145


Darwin n'a Jamais prononcé le terme " évolution " ( infos).

Arbre d'Ernst Haeckel (1866)2. Les organes homologues chers à Etienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772-1818) et Georges Cuvier (1769-1832) sont hérités d'un parent commun ( infos).

3. L'arbre phylogénétique de Darwin explique :

  • l'extinction des espèces ;
  • l'apparition des espèces par cladogenèse qui est l’éclatement d’une lignée en plusieurs rameaux qui sont généralement divergents ;
  • le maintien d'espèces qui se sont perpétuées telles qu'elles ou à peine transformées jusqu'à présent : on parle d'anagenèse qui est la transformation progressive dans le temps d'une seule lignée par la dérive morphologique de la population ;
  • la divergence ancienne ou récente des espèces (ancêtres communs proches ou éloignés) ;

4. L'évolution est graduelle et il faut un nombre énorme d'années (« chacun un millier ou même une dizaine de milliers de générations » pour que des changements morphologiques apparaissent. La nature ne fait pas de saut comme disait Leibniz (1646-1716).


Cette théorie fit grand bruit par ses implications religieuses ( infos) et bouleversa, par la suite, toutes les sciences du vivant ( infos).

5. Darwin pensait comme Lamarck (1744-1829) qu'il y avait transmission des caractères acquis ( infos) et que, même s'il s'en défendait, l'environnement et les habitudes pouvaient modifier les espèces.

Darwin complétera sa théorie par :

  • le concept de pangenèse dans " la variation des animaux et des plantes sous l'effet de la domestication " en 1868 ( infos), qui ne lui survivra pas.

Des germes contenus dans chaque cellule vivante, qu'il appelle gemmules ( infos), spécifiques de chaque type cellulaire (nerf, muscle…), migrent dans les cellules reproductrices. « Elles sont transmises par les parents à leurs descendants, se développent généralement dans la génération qui suit immédiatement, mais peuvent souvent se transmettre pendant plusieurs générations à un état dormant, et se développer plus tard… Les gemmules sont émises par chaque cellule ou unité, non seulement pendant l'état adulte, mais aussi pendant tous les états de développement… Enfin, je suppose que dans leur état dormant, les gemmules ont les unes pour les autres une affinité mutuelle, d'où résulte leur agrégation en bourgeons ou en éléments sexuels. ». La multiplication des gemmules provenant du mâle et de la femelle, après la fécondation, sera à l'origine du développement de l'embryon. Les gemmules peuvent ou non s'exprimer, ce qui permet à Darwin d'expliquer les " caractères latents ", c'est-à-dire le retour à des caractères ancestraux, les résultats des croisements ou la transmission des caractères acquis.

  • la sélection sexuelle qui développera dans la " Descendance de l'homme " ( infos).
Sélection sexuelle chez les insectes
Sélection sexuelle chez les insectes dans la Descendance de l'Homme de Darwin (1871)

« Nous n’avons toutefois à nous occuper ici que de la sélection sexuelle. Cette sélection dépend de l’avantage que certains individus ont sur d’autres de même sexe et de même espèce, sous le rapport exclusif de la reproduction. Lorsque la conformation diffère chez les deux sexes par suite d’habitudes différentes, comme dans les cas mentionnés ci-dessus, il faut évidemment attribuer les modifications subies à la sélection naturelle, et aussi à l’hérédité limitée à un seul et même sexe. Il en est de même pour les organes sexuels primaires, ainsi que pour ceux destinés à l’alimentation et à la production des jeunes ; car les individus capables de mieux engendrer et de mieux protéger leurs descendants doivent en laisser, cæteris paribus, un plus grand nombre qui héritent de leur supériorité, tandis que ceux qui les engendrent ou les nourrissent dans de mauvaises conditions n’en laissent qu’un petit nombre pour hériter de leur faiblesse…
Lorsque les deux sexes ont exactement les mêmes habitudes d’existence, et que le mâle a les organes des sens et de la locomotion plus développés qu’ils ne le sont chez la femelle, il se peut que ces sens perfectionnés lui soient indispensables pour trouver la femelle.
Mais, dans la grande majorité des cas, ces organes perfectionnés ne servent qu’à procurer à un mâle une certaine supériorité sur les autres mâles, car les moins privilégiés, si le temps leur en était laissé, réunissaient tous à s’apparier avec des femelles sous tous les autres rapports, à en juger d’après la structure des femelles, ces organes seraient également bien adaptés aux habitudes ordinaires de l’existence. La sélection a dû évidemment intervenir pour produire les organes auxquels nous faisons allusion, car les mâles ont acquis la conformation qu’ils ont aujourd’hui, non pas parce qu’elle les met à même de remporter la victoire dans la lutte pour l’existence, mais parce qu’elle leur procure un avantage sur les autres mâles, avantage qu’ils ont transmis à leur postérité mâle seule. C’est l’importance de cette distinction qui m’a conduit à donner à cette forme de sélection le nom de sélection sexuelle. En outre, si le service principal que les organes préhensiles rendent au mâle est d’empêcher que la femelle ne lui échappe avant l’arrivée d’autres mâles, ou lorsqu’il est assailli par eux, la sélection sexuelle a dû perfectionner ces organes en conséquence de la supériorité que certains mâles ont acquis sur leurs rivaux. Mais il est impossible, dans la majorité des cas de cette nature, d’établir une ligne de démarcation entre les effets de la sélection naturelle et ceux de la sélection sexuelle. On pourrait remplir des chapitres de particularités sur les différences qui existent entre les sexes sous le rapport des organes sensitifs, locomoteurs et préhensiles. »
La descendance de l'homme p : 229-230 ( infos).

Ernst HaeckelLa théorie ne pouvait pas tout expliquer car deux sciences essentielles ne s'étaient pas encore développées :

  • la génétique avec la redécouverte des lois de Mendel vers 1900 ( infos),
  • l'embryologie qui commence à se développer ( infos).

En Allemagne, Ernst Haeckel (1834-1919) pousse l'idée évolutive jusqu'au bout et construit le premier arbre qui englobe tous les êtres vivants en décrivant trois règnes au lieu de deux : les unicellulaires, les végétaux et les animaux dans son livre " Generelle Morphologie der Organismen " paru en 1866 ( infos), dans lequel il placera l'homme.

  • Depuis cette époque, la science ne fait que corriger les " petites " erreurs qu'a commises Haeckel.
  • Pour Haeckel, « l'ontogenèse récapitule la phylogenèse » ( infos).

Evolutionnisme après Darwin

Connaissances au XIXeEvolutionnisme avant DarwinJeunesse de Darwin
Voyage du BeagleGéologie à bord du BeagleZoologie à bord du Beagle
Darwin avant l'Origine des EspècesL'Origine des Espèces
Darwin après l'Origine des EspècesThéorie de l'évolutionDarwin et la question raciale
Développement de la génétique
NéodarwinismeClassification phylogénétique
Systématique génétiqueFixismeFixisme avant Darwin
Darwin et AgassizDarwin et les Chrétiens

Bibliographie
  • de Witt Hendrick C.D. - Histoire du développement et de la biologie - Volume, I, II, III - Presses polytechniques et universitaires romandes, Paris, 404, 460 et 635 p., 1992, 1993 et 1994
  • Darwin on line
  • Darwin Ch. - Voyage d'un naturaliste autour du monde - Maspero, Paris, 2 volumes, 251 et 299 p., 1982
  • Rostand J. - Charles Darwin - Gallimard, Paris, 237 p., 1947
  • Conry Y. - Darwin, théorie de l'évolution (textes choisis) - PUF, Paris, 233 p., 1981
  • Thuillier P. - Darwin & C° - Editions Complexe, Bruxelles, 210 p., 1981
  • Eibl-Eibesfeldt I. - Ethologie - Biologie du comportement - Naturalia et Biologica Editions scientifiques Paris, 576 p., 1972
  • Campan R., Scapini F. - Ethologie, approche systémique du comportement - De Boeck Université, Bruxelles, 737 p., 2002
  • Université d'Oxford - Dictionnaire du comportement animal - Robert Laffont, Paris, 1013 p., 1990
  • Immelmann K. - Dictionnaire de l'éthologie - Pierre Mardaga Editeur, Liège, 296 p., 1990